Le bingo revisité
• Des cartes de bingo vierges, faites à la main
• Des crayons
Idéalement plus de 10 personnes
Avant l’arrivée des invités, le meneur de jeu prépare de petites planches de bingo – on en trouve des modèles vierges en version imprimable sur l’internet. Plutôt que de placer des chiffres dans les cases, on y écrit de courtes anecdotes ou des réalisations qui concernent des participants à la soirée (« A gagné un prix cette année », « A enfin réussi à faire des pâtes ! » ou encore « S’est endormi au travail »). L’objectif est de rire en groupe, mais aussi d’en apprendre davantage sur ses proches.
Au besoin, le meneur de jeu peut demander à ses invités de composer eux-mêmes une ou deux phrases qui les concernent. Comme les cartes de bingo classiques, on place cinq cases sous chaque lettre B, I, N, G, O, et un espace « gratuit » au centre. Enfin, on dispose les anecdotes différemment d’une carte à l’autre pour que le défi change d’une personne à l’autre.
Le meneur de jeu distribue une carte par invité, avec un crayon. Au signal, les participants doivent discuter les uns avec les autres pour tenter de trouver qui correspond à chaque case. Lorsqu’un participant fait le lien entre une personne et une affirmation, il lui demande d’apposer sa signature sur la case.
Le jeu se termine lorsqu’un participant a obtenu le nombre de signatures nécessaire pour tracer une ligne droite de cinq cases consécutives. Il s’écrie « bingo ! », et le meneur de jeu vérifie si les signatures sont les bonnes. Si c’est le cas, on a un gagnant !